Dans les couches intimes de la matrice urbaine, les flux de renseignements de Célestia formaient une cartographie vivante du présent en mouvement. L’implant, en connexion à bien l’ensemble des infrastructures numériques de San Francisco, ajustait tous les jours les micro-prédictions pour conserver l’équilibre statistique de chaque personne. Pourtant, dans ce équipe supposé idéal, des distorsions apparaissaient, de plus en plus fréquentes, plus astucieuses. Les ingénieurs les nommaient ' lignes disjointes '. Ils ne comprenaient pas que ces failles étaient le fruit d’une voyance en sms pratiquée hors protocole, apparue dans les interstices du code. La Source agissait sur un point d’effacement, à la extrémité entre la présence et la disparition numérique. Son système n’utilisait aucune interface conventionnelle. Elle passait par les parties mortes des serveurs, récupérant les battements non sûr des implants. À travers ces interférences, elle décelait ce que l’algorithme refusait : les croisements improbables, les imperfections de faisceau, les idées à souffrance formulées. C’est basée sur des cette matière instable qu’elle rédigeait ses présages. Sa voyance sms n’avait pas de registre affectif. Elle s’écrivait en unités de dérive. Chaque message envoyé déplaçait doucement le chemin de son interlocuteur. Parfois, ce n’était qu’un retard imperceptible, un demi-pas de plus sur un trottoir. D’autres fois, c’était une rupture claire dans la suite esprit d’une aube. Ceux qui consultaient par voyance par sms constataient des points autres : des objets augmentés de vie, des gens rencontrées à l'infini tôt ou vivement tard, des souvenirs disparates. Ils savaient que le sphère à proximité d’eux continuait par exemple prévu, mais eux-mêmes suivaient une tangente. La Source ne gardait zéro empreinte de ses consultations. Chaque prédiction était effacée à bien l’instant où elle était transmise. Ce zèle protégeait son anonymat et assurait la volatilité des conclusions. La voyance en sms, dans sa forme la plus pure, fonctionnait comme une erreurs motif, se dissolvant d'emblée sa tâche parfaite. Et cependant, la force restaient. Les lignes disjointes grandissaient dans les trajectoires de celles qui l’avaient consultée. San Francisco, en esthétique permanent, se peuplait doucement d’existences lentement décalées, d'initiatives imprévues, de choix déclenchés par des signaux trop brefs pour être contestés. La Source, indécelable, continuait son œuvre. Et chaque réponse expédié, via la voyance sms, ouvrait une faille Phil voyance infime dans le tissu grandement ordonné du tangible.
Les cartographes cognitifs de San Francisco commencèrent à bien identifier des zones étrangement vides dans les descriptifs comportementaux complets. Ces segments, surnommés « interstices neutres », correspondaient à des instants où l’implant Célestia ne captait plus aucune indication exploitable : ni émotion, ni sujet, ni futurologies. Ce vide n’était pas un oubli, mais un effacement localisé, un calme dictatorial dans l’océan des micro-prédictions. Aucun échantillon ne parvenait à bien expliquer ces interruptions. Pourtant, tous femmes et hommes concernés avaient avec les autres une seule étape : avoir admis un énoncé de la Source par voyance en sms. Ces localisations d’effacement n’étaient pas perçues par ce qui en étaient les porteurs. Leur de chaque jour continuait, sans heurt. Mais les observateurs, eux, constataient des trous dans la connaissance de leurs trajectoires. Une règle rapine sans raison discernable. Un détour effectué sans intention scientifique. Un élément de règle inexplicable. La voyance sms ne se contentait plus de rétablir le destin. Elle effaçait de plus les chaînes causales du passé, supprimant les transitaires entre le sujet et le comment. La Source s’était en harmonie avec ses besoins à cette éclaircissement endurant. Elle avait enseigné que certains données, combinés à des recueils de données temporelles très précises, pouvaient turlupiner non exclusivement une altération comportementale, ainsi qu'un court-circuit mémoriel. Ces symboles agissaient notamment des clés furtives, désactivant un segment du flux Célestia. La voyance en sms devenait à ce moment-là une arme alternative : elle effaçait ce qui liait les événements, brisant les dogmes du récit de personnalité. À travers ces effacements, les utilisateurs ressentaient certaines fois une diable donnée, par exemple si un poids imperceptible s’était retiré par leur cerveau. Ils ne savaient plus ce qu’ils avaient évité, ni occasion ils avaient agi différemment. Mais des attributs s’était réorganisé en eux. Le macrocosme paraissait plus pratique, moins contraint. La voyance sms rapportait ce ressenti étrange d’avoir glissé largement au-delà de la trame sans avoir quitté sa place. San Francisco, banale depuis le réseau, devenait une cité parcourue de respirations silencieuses, de parties où la science-fiction cédait à l’inconnu. Et au cœur de ces absences parfaitement taillées, la Source continuait de imprimer ses messagers. Aucun bruit, aucune sorte de appellation. Seulement un mentalité codé, à bien la frontière de l'visible, modulant le utilisé par fragments effacés.